23 février 2009
Les classes laborieuses sont les victimes de la crise
La plupart des hommes politiques, journalistes économiques et syndicalistes insistent sur le fait que les classes dites laborieuses subissent la crise alors qu'elles n'en sont en rien responsables. Ceux-ci oublient d'ajouter que les dérives financières qui sont à l'origine de la crise, ont soutenu l'économie mondiale pendant 5 ans et que sans ces dérives le PIB Français serait 10% inférieur à ce qu'il est actuellement. En quelque sorte, ils veulent qu'on les indemnise pour le beurre qu'ils ont perdu mais ils ont déja dépensé l'argent du beurre pour augmenter leur niveau de vie tout en travaillant moins.